Monday, November 20, 2006

Poesie sonore

Humeur actuelle : accomplished
Catégorie : Writing and Poetry

J'ai pourfendu ton goût du fil bitor danke bitteschöen arrithmé coeur en leurre jambes en l'air perte d'équilibre impesanteur qui aurait pu boire qu'une chouette réveille le pouet chut en lutte libre coute que courte musicaliment incandescant laissant choir le mot au grés du flot battre le moulin de vents chauds il roucoule agrappant sur le passage

3 verbes infinis
2 groupes sujet
4 adjerbes instants
1 pro du nom
6 qualifiants
et pas de ponts
ni ctuation

chute en lutte libre courte que coute c'est le dictat le tord du papp d'avoir libéré l'outil cosmique poésie en hrand garrateur nousgrois oui je signe par toi sans naître rien qu'à eux le dédain qu'une fourcre de chants de mi de moitié d'une moitié de toi.

Sunday, November 19, 2006

quand je me salade en bus je salive

défile le pays sous le coude et sa tête repose sur un champs de pierres des fenêtres aux portes automatisées le panorama de sa ville reflète sur la peau ce soir est froid les escargots rentrent

Saturday, October 28, 2006

271107517-261006

No bus the precedents days - Bicycle



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swing il manque du jazz dans la vie musique s’il vous plait chauffeur mattes ce morose paysage les âmes déclosent clash tombent cognent déroulent le vide d’une vie trépidente alors swing in a bus swing in a bus…

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No bus precedent day





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Le paysage n’appartient qu’à… Un couple à l’arrière, une vieille devant, et moi au milieu. Entre les barres rouges - Une fenêtre sur son visage à 45° dans le rétroviseur. Il voit le blanc de mon œil gauche. A travers la vitre – Je fixe un point. Les portes s’ouvrent sur un homme. Il monte et s’assied - face à lui. Le chauffeur ne voit plus le blanc - Le visage de l’autre, supperposé - J’ai du mal à me concentrer… celui qui le regarde.

Monday, October 16, 2006

271107516100608H3550106W

S'il vous plaît, un bus farci fourmillant de francs.
Abondants, le flux et le reflux des gens qui prennent le bus de 17h - Absolu, la connerie de n'ouvrir qu'une porte à l'avant - A ras bords la coupe est pleine - Beaucoup, bondé, bourré, chargé, complet, j'imagine le pire, comment d'humain débordant, ce dense bus peut-il finir sa course?
Avancer dans ce couloir - parfum encombré de sacs et de jambes - dans le virage l'acordéon gonfle gavé du gras tertiaire. Je suis lestée, mes pieds sont lourds. Je me sens serrée, enfermée au milieu d'un tas. Grouillant, habité comme hanté, le bus stoppe - revisitant - la hola imprégnée d'une atmosphère boudeuse.

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Dans le bus, elle mange un tuc - Assise en face - 1, 2 voir 2, 4, 6 yeux au-dessus de mon épaule pour voir ce que j'ai du mal à écrire - Assise perpendiculairement à la trajectoire du bus - Place Mondésir - "Fin" pour ne pas louper mon arrêt.